J’avance, navigue entre deux eaux,
entre deux mondes,
du viscérale de tes lèvres
à l’incandescence de l’esprit,
de l’indescriptible,
de l’inintelligible,
des eaux du troublé,
nageant entre la brûlure
de tes liquidités fébriles
du percuté des constellations
en derivé sur ton granule,
je dérive entre l’attraction de ton infini
et l’infini du grand tout.
Se perdre en toi
Tout entier en toi