Albert Camus

Je n’ai jamais vu très clair en moi pour finir.
Mais j’ai toujours suivi, d’instinct, une étoile invisible.

Albert Camus, Carnets II , 10 janvier 1950

le bonheur est la plus grande des conquêtes, celle qu’on fait contre le destin qui nous est imposé

Albert Camus.

Je te vois, amour… @toile-invisible

« Notre monde n’a pas besoin d’âmes tièdes, il a besoin de cœurs brûlants »

Albert Camus  in Combat (éditorial du 26 Décembre 1944)

« Maintenant je sais que l’homme est capable de grandes actions. Mais s’il n’est pas capable d’un grand sentiment, il ne m’intéresse pas ».

Albert Camus in La Peste (1947)

« Voyez-vous, on m’a parlé d’un homme dont l’ami avait été emprisonné et qui couchait tous les soirs sur le sol de sa chambre pour ne pas jouir d’un confort qu’on avait retiré à celui qu’il aimait. Qui, cher monsieur, qui couchera sur le sol pour nous ? »

Albert Camus in La Chute (1956)

« Je sais qu’il y a chez tout être une part de solitude où personne ne peut atteindre. C’est la part que je respecte le plus quand il s’agit de toi, je n’ai jamais essayé d’y toucher ni de l’annexer. Mais dans tout le reste, je sais aussi qu’il n’est pas une de tes douleurs ou de tes joies que je ne puisse partager »

Lettre d’Albert Camus à Maria Casarès , 14 Décembre 1949 in Correspondance 1944-1959 – Gallimard

« La vertu de l’homme est de se maintenir en face de tout ce qui le nie ».

Albert Camus in Le Soir Républicain (Article censuré du 25 Novembre 1939)

« En vérité le chemin importe peu, la volonté d’y arriver suffit à tout »

Albert Camus in Le Mythe de Sisyphe

« Ce monde sans amour était comme un monde mort et qu’il vient toujours une heure où on se lasse des prisons, du travail et du courage pour réclamer le visage d’un être et le cœur émerveillé de la tendresse »

 Albert Camus.

« J’attends demain, toi, ton cher visage. Ce soir j’étais trop fatigué pour te parler de ce cœur débordant que tu me fais. Il y a quelque chose qui n’est qu’à nous et où je te rejoins toujours sans effort. Ce sont les heures où je me tais et où alors tu doutes de moi. Mais cela ne fait rien, mon cœur est plein de toi. »

Lettre d’A. Camus à M. Casarès jeudi 10 heures (du soir) (Juin 44)

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