Vivre dehOrs

Je relis vos mots de lumière et même si je sais que nous ne vivrons pas mille ans.
Peu m’importe,
Car ce ne sera pas vivre comme une ombre

J’avance sur ce chemin escarpé, longé de bois noirs, des précipices du non dit, de l’oubli,
Peu m’importe
Je regarde le ciel et j’ouvre les bras vers nous,

Ne sommes nous qu’atomes molécules matière finie
Peu m’importe,
Je vis dehors de moi,

à l’endroit
où je vous retrouve.

© Gilfy – Temps du rêve

Une réflexion sur « Vivre dehOrs »

  1. Merci… J’aime tellement la façon dont vous dites les choses… Vous faites d’une banalité, un rêve extraordinaire… d’un simple événement, un conte fantastique. Vous rendez l’autre simple mortelle… une déesse de l’amour….
    Merci.
    Et encore….

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