Il pleut-il
De mes récits rétifs
Battue la brèche
De son ère tranquille
Coeur-vent ses récifs
De mon Ô-lympe avide.
Il pleut,
Sur la pente de mes fleurs bleues
Au jour d’huis
Où vertes d’émoi
Mes hanches pointues
S’évertuent de fleurs rougies
A tes mains éboulies
Ta lèvre écoute
Comme je n’en pluie plus
De joie.
Il pleut, sur moi
De douce heure
De bon’heure
Ta mâle heure
Me suce-tente
De toi-moi-nous
ce grand tout
Qui d’eau, chante…