Du Léthé je bois le stupr’heurt
Nos p’eaux d’âmes se muent
Dans cet été rêve nu,
Tendre les faits rosses
Mais Douces Heures,
Nos deux vies des os,
Toutes à la Foi
Des ors mets de cette Loi…
Du Léthé je bois le stupr’heurt
Nos p’eaux d’âmes se muent
Dans cet été rêve nu,
Tendre les faits rosses
Mais Douces Heures,
Nos deux vies des os,
Toutes à la Foi
Des ors mets de cette Loi…