
Tendre accostage de chair promise
Soudure liquide sur tes lignes de rivage,
Ancrage etincelant de fleurs indécises
Que lancent tes chevrons sauvages
Tu es terre mer, abisses sans fond
maison de ce qui vole tourne en rond
Ciel de ce qui cours tombe en folle inondation
Oh amour, que j’aime ce lieu de tes baisers
Et du silence où toute ma chair chante et renaît