Quand je viendrai ce sera à la voile
Pour ta peau de proche en proche, de berge en berge, des profondeurs en profusion, voler tes baisers enivrés couchés avec toi dans le long, le travers, peu importe quand je viendrai en mains, en cuisses, en mature de sexe, avec ma faim de tes pieds nus en cale, et sur mon ventre, et à tes fesses, le lever le rideau, le bien haut, à l’apeausition du vertiges mes mains marines, dans ta fente, ta bouche, ta fourche, en touche, en contre en pince, tes cuisses orage ou passent les éclairs, mais on ne sais jamais à l’avance la force, la direction du vent, la hauteur des vagues, mais on sais toi et moi, le naufrage, la perdition la noyade au fond des yeux, et puis les sauvetages, les remontées dans les sabordements liquides et de nouveau les affaisements dans les grands fonds de l’un de l’autre..