Au fil de nos eaus en suite

Petites touches d’été

Armer notre navire, joue-épaule, bras-anche, parrés pour la traversée vers les nouvelles rives du désir.

A fond de cale, ma voix enroulée dans l’escargot de ta peau, mes doigts en goguette dans la trappe de tes lèvres et la mâture qui craque.

Sur le pont, il fait froid à s’enrouler dans des voiles de coton. Mais je sais te déboulonner comme chaque fois pour te debout tonner

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Pour la toile invisible que nous tissons chaque jour