Ce que tu es plaisir à t’embrasser sans fin
N’a d’égal que celui de ta decouverte
Végétation luxuriante, peintures rupestres
Là ou sentir monter et assouvir ma faim
A nos correspondance en ciel indigo
Esprits des lagunes et broussailles libérés
Te font jachères et cannebières en feu
Ame de la danse des rythmes enfièvrés
Nulle rimes nul chant de ma peau où tu n’es
Fleur des campagnes et beauté des ilets
Comme dans ce tout de la nature enchanté
Et quand cendre et tout à la terre je serai
Delphine toi fleur sauvage des forêts
Restera mon amour de l’invincible été