Dernière nos yeux
Tous ces trains
Qui roulent plein feux
Tombereaux ouverts
Chargés de pierres,
De murs au ventre
De mises en terre
De renonçamant
Et puis au centre
Gare du présent,
Dans l’envers
Des paupières
Tous ces chevaux,
Lancés au galop,
Menant train d’enfer
Tous ces chemins
A s’aimer debouts
Dans la boue,
Tous ces chemins
De vivre, de faire
Notre route des épices