Touchant nos ailes
Nous savons le vent, le ciel
L’été sous nos pieds
Touchant nos ailes
Nous savons le vent, le ciel
L’été sous nos pieds
Fleuve d’encre rouge
En elle est le sel des jours
L’été indomptable
Fleuve indigo
Elle est ce qui rassemble
Et ne sépare pas
Or ni erre
Ni ne me sang l’eau
Notre Âme-our, vaut le si Ô…
Si-lents cieux de nos m’eaux
Forent jets de pierres sur le gros cas-racle-terre
Ils les faut pour l’éther-nuitée flamme-aimante d’Âme-Our…
Toute D elle, ailes à G il, île,
Femme au grand ciel,
Homme sa terre d’asile.
Tu me re-huis s’y eau
Dans le mât-in de tes m’hauts
Temps et tant tu me qu’aux roses ivres
Un ruisseau oublié
Serpente sangtiers de sel
Sur l’hivers fardé
Offrande du soleil
Temps brûlant abreuve la terre
D’amour en Nous
L’ivresse du vin
Des vendanges d’été fleurit
Sur nos bouches liées
Choisir la lumière,
Confiance des mains données
La saison d’âm-our
Cette nuit, l’Amour s’ombre
A ta joue où la pluie coule un torrent,
Sur tes genoux, je dé-doigts-nœuds ton tourment.