Archives de catégorie : Sources

unparfait bar ce lone

Oh cloaque idealick
Tes bicocks bigarrées
Ta faune belle glock
M’en puantissent, me relant
Des envies de meurtre
Oh Godes s ave me
Ma terre ma vie
L’hotel bel ant tic
Qu’a misé sur le top
Chambre sue-ave
M’encroute de toc
Oh Godes s ave me
Ma terre ma vie
Boudoir, petit salon
Sans petit salé
J’aurais jamais cru
Qu’il m’en cuise
Tant que j’te miss
oh Godes s ave me
Donne moi tes cuisses
Tes fesses ton cul real
Tes hanches pointues
Que j’m’en dévisse
Et m’enlisse en ta peal
Oh godes s ève me
Ma terre, ma mie
Mon-aile pour la vie

© Gilfy – Temps du rêve

 

Il pleut…

Il pleut-il

De mes récits rétifs

Battue la brèche

De son ère tranquille

Coeur-vent ses récifs

De mon Ô-lympe avide.

Il pleut,

Sur la pente de mes fleurs bleues

Au jour d’huis

Où vertes d’émoi

Mes hanches pointues

S’évertuent de fleurs rougies

A tes mains éboulies

Ta lèvre écoute

Comme je n’en pluie plus

De joie.

Il pleut, sur moi

De douce heure

De bon’heure

Ta mâle heure

Me suce-tente

De toi-moi-nous

ce grand tout

Qui d’eau, chante…

Bos cus

J’é graine epris
ce champs fleuri
D’un boca je tai re
haïe-tre impatient
d’embraser ses abords
d’age d-élict cyeux
bleu d’eau rase
et d’espoir
Je d-éfreeche
et par cours
Cet te aire de
Qui est tu
d-élit hisse
mon coeur
enclochée
de gemmes
d’ailes fines

© Gilfy – Temps du rêve

Révélations

Je lui tiens la main,
souvent,
et parfois
les deux.

Si je ne peux lui écrire
Et si elle ne peut m’écrire

Nos cœurs s’en moquent
Ils se parlent quand même dans le silence

Alors que toutes les fleurs
Se tournent vers le soleil
Moi, je ne vois que son cœur
D’où me vient cet étrange éveil ?

Pourquoi le soleil se lève t-il
pour que je puisse la contempler… ?

Ne sait-il que je la connaîs sans la voir ?

Le ciel est triste,
Il ne peut disputer

Le bleu à ses yeux

Grace à ses racines dans mon coeur
Je ne crains plus l’érosion ni la dissolution

Ce que nous nous donnons
C’est l’amour du tout

Et de presque tous …

Même si elle est tout pour moi.

Immense et sans limite,

Je ne peux la définir

Elle est l’apesenteur et l’attraction

Le déséquilibre
dans l’équilibre

Elle est le fruit sucré de la fleur,

La fleur dans le fruit du désir

Ses baisers ont un goût de poésie au chocolat

Si je survie à chaque premier baiser,
Ce n’est que par sa volonté.

Elle est le centre
et le non centre,

Je sais toujours où la trouver.

Nous passons notre temps
à décomposer la lumière (elle surtout)

Mais aussi à faire le tri entre
l’ombre et la noirceur.

Elle est l’eau de mes poèmes.
Je suis la terre de ses poèmes.

Nous, est la dimension du poème

Les étoiles dans le ciel
L’eau dans le lit des rivières
Elle vivante dans mon cœur

Tout est à sa place

Parfois nous parlons pour ne rien dire

Les étoiles, le soleil et la lune palissent
Ils savent qu’aile est le principe vital de l’univers

Certains se disent qu’elle ne fait pas son age

C’est juste

Elle est là depuis la nuit des temps

Avec elle le temps s’arrête, se déroule et s’enroule
Les horloges ne peuvent pas comprendre

Elles n’écoutent pas, comme moi les battements de son cœur

Nous, est un anniversaire plus brûlant chaque jour
Nous allumons des bougies

Que nous ne soufflons pas

Je sais construire seul des cathédrales jusqu’au ciel

Mais pour l’amour infini, j’ai absolument besoin d’elle

Elle ordonne la beauté à toute chose

Et à cet ordre, mon cœur aussi se d-éplie

Le soleil,

Même s’il vit dans son ombre,

Lui aussi est amoureux.

Elle est le rêve dans le rêve

Et le rêve incarnée.

Entre ses bras, le grand cercle.
De la lumière à la lumière
De l’enfance à l’enfance

On peut survivre en dehors du cercle,
mais pourquoi faire.

Les oiseaux, les renards, les loups
et toutes les plantes l’ont bien compris,
eux qui vivent à l’intérieur.

Elle a le pouvoir de faire oublier la guerre,

Mais elle ne veut pas.

Dans la ligne du temps

Derrière celle de l’horizon

c’est là que je la retrouve.

Elle seule sait faire chanter les fleurs

et la mousse des pierres qui roulent

Malgré l’amour, nous sommes vigilants.,

Nous savons bien la part d’humain qui sommeil en nous.

Elle n’est pas vertue elle,

Juste la vérité sauvage.

Nous n’allons nul part, nous ne sommes que le voyage, de l’un vers l’autre.

BMF J’déteste les aéroports

Les avions, les trains voitures vélo pousse-pousse rien de tout ça…

Elle, c’est le seul transport que je veux…

Elle a ce pouvoir de faire disparaître toutes les femmes de la terre,

et d’ être dans chacune d’elles

Nouveau record de chaleur,

N’y serait-elle pas pour quelque chose ?

Dans ce qui nous rapproche se trouve aussi parfois ce qui nous éloigne des autres

Elle est le poison des jours lisses,

Celui que je prends avec délice

Lorsqu’il l’observe

L’angle ne sais plus vraiment

à quoi il a droit

Elle seule sais courber la lumière dans la lumière

Lorsqu’elle ouvre les yeux

Le coquelicot est content de sa couleur

Le ciel est jaloux

Ce qu’elle est de vent hurlant, de soleil ardent et de pluies torrentielles

Est ce qui me sculpte dans l’âm-our.

Si couchés dans le trèfle nous croisons nos doigts, ce n’est pas que

pour nous offrir la chance.

Quand j’entre en elle.

Étrangement, je passe de l’ombre à la lumière.

Nos lignes de vie se croisent

Sur nos lignes de sang

Pour nous rappeler de toujours pècher la vie à la ligne de tous les jours.

Toute les routes iront à Rome,

Le jour où elle y sera.

© Gilfy – Temps du rêve

Elle, elle est cette pluie de mots de lumière,

Qui nous colle les vêtements de l’âm-our à nos peaux arides.

Ce qu’elle coud, c’est un patchwork de ciel, de terre, d’océans pour couvrir toutes les bêtes dans la chaleur de l’âme-our

L’arbre est ce tout élan dans un ciel de lumière, comme moi, vers la chaleur de ces baisers.

D-ébraille

Fil entre
Cette Alegre fesse
Que je vit là
Et que jean d-éraille
Et que je vous lisse
Du bout des doigts
en dé braille
Tout me pousse à vous re luire
À nous veau va’che co fonds
Ha que je ne le suce
Plus t’haut
Que votre plume age
s’en rapporterait à votre corps-sage
Assurément vous tète l’hote de mes  émois.

© Gilfy – Temps du rêve

Raison et Serments

F-âme et lick

Délit vicieuse,

Tes yeux par la dick

Tes cieux en sept,

F-âme d’hélice

Manie lessiveuse,

Tu fronces et piques

Mon ass par ton cep.

Toutes raies, seins, ton vit site

Et vit goût heureusement

Arrosé, rossé, rosé ma peau de sarments.

Ta vie d’ange,

Nos vents d’anges

Bien en avance pour le quorum

Sont d’éclats-raies « annus prodigium »

Grand Cul et mille-et-cimes.

Pour l’éternité,

Je suis décantée ,

Gouleyante promue

Mais chair nue

De ton vit-noble…

Là-bas,un don

Là-bas, un don

Vidée l’eau du bain

Tu n’es plus rien

Sitôt racines à l’air

Tu suffoques ta mère

Pour la lumière, un cri de plomb.

Là-bas, un cas d’eau

En poings sonnés

De toi seule, le venin,

La méduse de ton radeau

Ta difformité, tes os d’airain.

Là-bas, un présent,

Racle du rocher au clocher

Touche le fond, désert d’un toit

Mise au ban de mon Roi

Mes griffes en sang

Errent, là…

Où ici…

Vecteur sans voix

Moitié d’ombre stérile

Ne pointe plus du doigt

Son Il(e).

Trouble compagnie

De mes doigts de pieds

Où je baisse pavillon

Tu me remontes silence

Me dé-laisses au col vrillé

Dévore mes papillons.

Ce cri, délit, ce ban que route

Ta main sur la mienne, me doute

Soudain : » Qu’avais-je espéré, à la fin ? »