9 mai 2018
Mon amour,
Pas besoin de te dire combien notre relations sens-inu-suelle me ravis et me rapproche de toi, tous les jours. Hier dans le bains de toute mes expériences, j’avais hâte de te les partager, de nous mélanger dans nos œuvres de ronces, boue et café brûlant (ah je ne t’en avais pas parlé ?) et toutes les petites po(l)issonerie dont tu as le secret.
Bien sûr, malgré cette légèreté chérie, je ressens toujours fortement, autour du tout, ce lien inaliénable, notre connexion inexplicable qui me fond littéralement en toi.
Hier soir, j’avais toutes sortes d’envies. Non… et oui, je sens que le temps de la fête étoilée n’est pas encore tout à fait là. J’en ai comme toi, très envie, et il se présentera dans la lumière comme toutes choses entre nous.
J’avais quoiqu’il en soit, hier forte envie de te gamahucher, de te trifouiller, que tu te liquéfies sur ma bouche. D’user de tes lèvres aussi, bien brutalement. Oh oui, tu n’imagines pas, comme j’aurais tant aimé avoir sa douceur ce matin, dans mon habit de terre. Tout ça et de te prendre aussi bien sauvagement ma louve, pour te trembler te volcaniser tout ton petits corps que j’aime. Toutes mes envies accolées avec tout celles que tu amènes dans ta corbeille de marée houleuse.
Mais voila, après le temps de nos larmes partagées et ton haïku si beau et si fort, toutes ces envies se sont tues. Je n’ai plus eu qu’une envie de toi, celle de retrouver ton âme nue collée contre mon âme nue, au plus loin en nous.
Je veux te dire que je t’aime, je t’aime en entier, je te love, je te liebe dixmille. j’aime ton petit cul plantureux, tes seins rebondissant et si doux à ma bouche, ton con soyeux et odorant, avec sa petite langue de feu qui me torture et me consume. Je t’aime dans toutes tes largeurs et toutes tes profondeurs brûlantes. jusqu’à nos lang’heures, je te quier haut, tes petits pieds agiles, tes jambes de folle gazelle, tes mains, oui tes mains dans les miennes, toi et toutes tes peintures d’artmour.
Je t’aime dans le Nous du poême, dans le Nous de notre lien mystique, dans les petites choses comme dans les grandes. Je t’aime pour la lune le vent partagé, les plumes que tu trouves et que je ne vois pas. Je t’aime d’âme-our d’artmour et d’amour à tout cœurs.
Voila hier dans le mélange de tout ce que je voulais, ce qui est venu par dessus tout, c’est cette envie d’accoster notre rivage et de nous retrouver comme l’union de l’océan à la terre. J’avais plus que tout, l’envie de ton corps de femme, de l’offrande de ton sexe de femme autour de mon sexe d’homme, de m’unir à toi dans cette vérité nue de toi et de moi ton homme et de toi Muki ma seule femme de mon tout. Voilà, je voulais te dire mon amour, que j’ais aimé jusqu’au fond de moi cette simple communion avec toi.
Moi ton lion pour toi pas sage, mais qui l’est parfois un peu trop, et j’espère que tu n’en auras pas ombrage.