Liane tressée sauvage en echeveaux
Ma joie nomade montant à l’assaut
De tes flancs, de tes seins en falot
Coeur furieux cognant à l’arceau
De tes reins de ta voie en anneaux
Et de tes lèvres, un baiser si chaud
Nous scellant à jamais aux murs de khajuraho