Oh, je sais, tu veux mon bois
Bandé dans l’arc tendu
De tes jambes, la cheville
Ouvrière prise dans l’étau
Manifeste de ton desir
Tenons, morte aise en faim
Où j’embrasse tes lèvres,
Tes cuisses tes pieds
De biche chassée, tirée
D’un trait sur le carreau
Inusable de la cuisine
Goulue de nos baisers