Je te donne cet alliage tripartite de fleurs
Pare mes mains, mon sein à l’or blanc,
fondues dans le Long-Temps
L’une est d’Âme-Our
L’autre mille ans
La dernière,
Mon cœur.
Car tel est le Lion
Qui me fait porter l’alcyon,
D’une franche encolure de l’ombre
A mon ardeur, de la coulure chaînée de son ordre
-Si tendre comme lui- de conter la nuit en sa fine pâleur.
“Je veux cheminer mille ans de plus, ma main dans la tienne…”