Der n’y ère une Charme île

A traverses du feule y âge, me joue y ta pré sens, des petites folles y est mire titillent, noires, velues, douce âtre sous la lent gué heure du jour, ma mare eh qui croâ crassent mon antre cul lisse , se coule lait jusque mes jeux nous…

Je t’épi de blé sûr, nu jusqu’à la taille dans l’ô rhiz’homme de ma sourde dès con venu et lèche frire mon bouillon de Lui l’eux, en éclats boue durent, que je laisse fi sceller ma lèvre croâ croâ queue lait, j’en voeux boire la tas t’y cul, ton poids son raie sonne déjà la mi-aine à dit stances peau éthique…

-De trop ! Sus ! A nous d’eux ! Taïaut ! Ai-je crié, et bouts ri enfant soudain le feuillage, éclats tant le tronc où je m’abritais, roule han des hanches, coups riante pieds nus sur le gravier pointu, saignant des plantes, écrasant la menthe , égorgeant les poissons de la rivière entre ma langue et mes crocs , roulez, roulis les cailloux, les liebe hululent,  les crasses peaux, les t’étangs, les t’es tard qu’eaux rosses ivres, les faire crisser, des comètes hurlantes dans son mante eau de nuit, giclant la lave rougie, la retournant de la vase à ses lentilles dans tout l’essence, mordant à pleines canines au hasard du char isthme de toi, ton regard et tonnant l’eau ras jets, tes mains eh toilées…

1000 ans, nos peaux-aiment bas sin ère …

 

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