Même un amour infini
commencerait par un premier regard,
un premier mot ou un premier sourire.
Saurais-je le reconnaitre ?
Même un amour infini
commencerait par un premier regard,
un premier mot ou un premier sourire.
Saurais-je le reconnaitre ?
Je chéri ma liberté
Surtout celle de pouvoir te choisir pour chaîne.
Your voice is like the sounds of flowers,
that brings in me the warmth of summer
I hear the sound of thunder
Waterfalls and rough winds
The murmur of deep forests,
that sounds inside your chest
and now you’re my prefered symphony
The only prayer I will belong to
Let me be lost,
Be my labyrinth.
Be my path,
my cheeky way
Ruin me, perverted me
Save me
Use me
Be my time to dust
J’ai lavé le ciel,
dévoré les comètes
toutes les bêtes
et dans les abysses
précipité les hordes
coupé les cordes
des pianos des violons
brûlé les maisons
et toutes les lettres
de l’alphabet mélangé
les couleurs du jour
et de la nuit
dragué la mémoire
retiré les ampoules
mangé la lumière
avec tous ses saints
rongé la faim les doigts
les tibias et la foi
jusqu’à qu’il ne reste rien
de rien
et dans ce rien
qui m’habitait
qui m’entourait
tu étais là,
unique et infinie.
Je marche vers la vie,
le souffle des marées,
tes dunes aréolées,
Je marche vers la vie
de tes prairies fécondes
de ton océan blanc,
vers tes futaies profondes.
J’ai lavé toute certitude
et banni la folle solitude.
le mirage des mots creux
et la peste des jours glorieux
je marche vers la vie
ton rire d’oiseau de pluie
j’irai danser sur toi
parce que je le sais
le froid de la nuit déjà
S’annonce à grands pas.
I’m not psycho
I’m not schyzo
No fear Baby
I’m not insane
You can take me for a ride
On the no-exit lane
No fear
Sure I’m completely crazy
About Your cold anger
And Your warm deep blood
About Your secret insanity
And all your certainty
No fear baby
I never lose control
I’m not psycho
I’m not schyzo
But You cannot marry me
Cause this world is
J’ai divisé, ajouté, retranché,
À la fin il ne restait que toi.
Si jamais il advenait,
Que ton souvenir soit en terre,
La lumière de tes yeux en cendre.
J’étalerais ma peau exsangue,
Sur le sel des jours heureux,
Je mangerais ta chair morte,
J’enchainerais tes frères,
J’habiterais les égouts,
J’érigerais des prisons,
Pour les rêves d’enfants,
Souderais mes dents,
Coudrait mes yeux,
Si jamais, un jour,
j’oubliais de t’aimer.
Il y a ces moutons dans le ciel, ce soleil qui passe par la fenêtre, et mon ombre sur cette table.
Est-ce qu’elle aussi, sait qu’elle pourrait disparaitre de manquer de lumière Est-ce qu’elle aussi a une pensée pour toi, et se demande, serais-je vivant sur terre si tu n’y étais pas ?